Connaissez-vous le site MONBESTSELLER.COM ?
"Trash Humanity" y est en lecture gratuite pendant quelques temps.... profitez-en ! Le site vous permettra aussi de faire la connaissance de nombreux autres auteurs, grâce à un système de grille très bien conçu. http://www.monbestseller.com/manuscrit/7478-trash-humanity
Première impressions des lecteurs de Monbestseller :
fab :
"Très belle écriture, très forte. Et un vrai récit qui laisse des traces trash. Merci pour ce partage."
Gaspard du Gévaudan :
"Il n’y a qu’1/2 mensonge dans le titre, et « trash » n’est pas celui qui l’est ! Cash en plus d’être tough. Très fort. Très dur. Très superlatif. Et très heureusement qu’il y a des sites comme monbestseller pour lire des récits qu’on ne lirait nulle part ailleurs. Il y a une vraie pensée, un vrai récit et un vrai style. Bravo."
Hubert :
"Très TRASH, limite hors zone... et pourtant on reste accroché. On devine que la fin sera tragique, que l'espoir est vain, mais les idées originales, les inventions nous retiennent... Docteur, suis-je malade ?"
Une autre moins élogieuse : le style du roman est clivant, c'est normal ! En tous cas une critique constructive très bien écrite et intéressante :
J-C Heckers :
"Désolé de venir casser la bonne ambiance du concert de louanges,
mais je dois confesser une grosse déception sur plus de cent pages. Je
ne sais pas à partir de quel moment j’ai commencé à m’ennuyer, au bout
de quatre chapitres, c’est sûr. Arrivé au terme de la novella, j’ai
pensé à un Matheson qui aurait pratiqué le délayage en adoptant un style
dans le genre vulgaire devenu assez commun pour ce genre de sujet, et
ça ne m’a pas réjoui. D’abord parce que le dit Matheson aurait écrit ça
il y a un demi-siècle, avec plus de dureté, de concision, et une moindre
proportion de grossièretés. Bon, d’accord, on n’appellera pas ça une
mise en perspective pertinente, mais ça aura été ma première réaction.
On est venu me vendre du cash dur fort, et du bon en plus, je vois de la
dope coupée au sucre glace et au talc (ou alors avec de l’eau si ça
doit s’injecter). Qui ne m’aura fait presque aucun effet, et m’aura
surtout suscité l’impatience d’en finir. Au sortir de Trash Humanity
j’ai donc eu le sentiment que c’était bien trop long, que tout ça pour
ça, même le paroxysme et les pages conclusives m’ont à peine laissé un
goût amer. Dont celui d’avoir lu des tas de fois ce genre de choses et,
ici, de ne pas avoir retiré grand-chose de l’effort. Ou de ne pas avoir
su, c’est possible aussi. Ce qui expliquerait que je n’aie pas accroché.
Je fais alors une pause avant de m’intéresser à la suite. Le rêve d’une
baleine à bosse (etc.) m’emporte un peu plus loin et me satisfait
mieux. Parvenir enfin à savourer, c’est déjà ça, et je trouve enfin une
patte de l’auteur, ce qui le distingue. Plus tard, quand je termine Six
Mondiols, je me dis que c’est dommage qu’il y ait eu Trash Humanity,
parce que j'ai sincèrement bien aimé ces nouvelles (pas à la folie, mais
bon, voilà). Ou plutôt, je trouve dommage que Trash Humanity n’ait pas
fait, lui aussi, une trentaine de pages – au pire une cinquantaine, mais
pas plus. Les bonnes idées auraient été plus saillantes, le propos plus
brutal et sur moi plus efficace, même si je suis devenu peu perméable
aux variations dystopiques de ce genre. Bref, résumons (sic). Mitigé et
perplexe, j’estime que si ce n’est pas mauvais (loin de là), il n’y a
pas de quoi se pâmer, et que dans le premier volet du livre l’auteur est
tombé dans un bavardage un peu complaisant alors que j’estime qu’il eût
fallu serrer le kiki au texte, faire quelques coupes et surtout
concentrer la dose pour un effet immédiat et maximal. Bien sûr, ce n’est
que mon opinion (discordante) et, comme je l’ai indiqué plus tôt, je
n’exclus pas que mon métabolisme demeure indifférent à certains
produits, ce qui expliquerait que je n’aie pas été plongé dans le même
ravissement que bien d’autres lecteurs. Quant à savoir si cela signifie
que j’aurais conservé plus de lucidité, je ne vais pas m’avancer.
Surtout pas. Car, qui sait si, au contraire, je n’aurais pas été victime
de mes propres cécités ?"
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